Cette pièce dans laquelle bon nombre de personnes viennent se recueillir, est conservée dans le même état que durant la vie de Ste Emilie.
On y trouve :
– la porte en bois de chêne, avec les ferrures de l’époque,
– le plafond aux solives apparentes, le plancher grossier, son lit paillasse,
– la malle où Sainte Émilie conservait les vêtements qu’on lui donnait pour les pauvres,
– la croix devant laquelle elle a beaucoup prié,
– la table où elle a multiplié des aliments,
– une vitrine contenant divers objets lui ayant appartenu,
– son portrait peint par Vauchelet, artiste parisien, en 1848, à la demande de l’évêque de Rodez.