Journée de réflexion et de prière sur le thème « Parabole de fraternité dans un monde blessé ». Día de reflexión y oración sobre el tema: “Parábola de fraternidad en un mundo herido”.
Le thème retenu pour cette journée de réflexion et de prière ne pouvait être plus éloquent au regard de ce que nous vivons actuellement : « Parabole de fraternité dans un monde blessé ».
L’explication de ce slogan dans la chapelle nous a permis de nous centrer sur le sujet. La lettre du Pape François Fratelli tutti nous a aidées à nous immerger en Dieu dans ce temps de silence et de désert et à contempler les ombres d’un monde fermé (9) et d’un étranger sur le chemin (56)…
La parabole nous met en garde contre l’attitude de certaines personnes qui se ne regardent qu’elles-mêmes et ne tiennent pas compte des exigences incontournables de la réalité ; elles vivent indifférentes à la douleur et oublient ceux qui se tiennent à leurs côtés ou ceux qui sont au bord du chemin.
Elles se fourvoient. La vie n’est pas du temps qui passe mais du temps de rencontre.
Une journée très riche où nous avons toutes apporté et exprimé nos réflexions.
En fin de journée nous avons exposé le Saint-Sacrement et avons prié Dieu pour lui rendre grâce pour tout le bien reçu, en gardant à l’esprit les hommes et les femmes qui, au prix de défis innombrables à relever, sont au bord du chemin ou dans les quartiers marginaux et sont aujourd’hui les bons Samaritains.
Sœur Maria Dolores Carnero
El tema que elegimos para nuestro día de reflexión y oración no podía ser más elocuente en este momento que estamos viviendo: “Parábola de fraternidad en un mundo herido”
Comenzamos nuestra oración, con la explicación de este “lema” que teníamos en la capilla, lo que nos ayudó a centrar más el día y la oración. La carta del Papa Francisco “Fratelli tutti” nos llevó a sumergirnos en Dios en este tiempo de silencio y de desierto y contemplar las sombras de un mundo cerrado (9) … y un extraño en el camino (56) …
La parábola nos advierte sobre ciertas actitudes de personas que solo se miran así mismas y no se hacen cargo de las exigencias ineludibles de la realidad; viven indiferentes al dolor y se olvidan de los que tienen a su lado o los que están a la vera del camino.
Caló hondo. La vida no es tiempo que pasa, sino tiempo de encuentro.
Un día muy enriquecedor, donde todas, aportamos y expresamos nuestras reflexiones.
Al final de la jornada tuvimos exposición del Santísimo y una oración, donde nos invitaban a dar gracias a Dios, por todo el bien recibido, teniendo presente a los hombres y mujeres que, en medio de innumerables desafíos, están al borde del camino o en los barrios marginales y hoy son los buenos samaritanos.
Sor María Dolores Carnero rsf